L'IA en sciences du vivant : la parole aux jeunes scientifiques

Pour cette première séance, Antoine Bourlier, doctorant labellisé par DIGIT-BIO, a présenté ces travaux l'utilisation de l'IA pour explorer le développement cérébral du jeune agneau soumis à différentes expériences précoces.

Dans cette seconde séance qui s'est tenue le 16 janvier, Camille Juigné (jeune docteure de l'UMR PEGASE) a présenté son travail de thèse pour Mieux comprendre les variations d’efficience alimentaire chez le porc grâce à la méthodologie des graphes multicouches

Cette 3ème séance, qui s'est déroulée le 6 février, a donné la parole à Silivia Bottini, récemment recrutée à l'Institut Sophia Antipolis, qui a présenté ses travaux sur l'Intégration de données multi-omiques grâce aux autoencodeurs variationnels.

Lors de cette 4ème séance du 5 mars, Maxime Delmas (en post doc à l'IDIAP) nous a présenté les Modèles de Langage pour l'Extraction d'Informations, avec une comparaison entre extraction et génération de données synthétiques.

Lors de cette séance, Meritxell Vinyals, jeune chercheuse à MIA-T, nous explique comment elle utilise l’apprentissage profond par renforcement pour répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux.

Pour cette 6ème séance, Aurélie Mercadié, Doctorante CIFRE à l'Unité MIA-T et Pierre Fabre Dermocosmétique nous a présenté ses recherches sur l'Intégration de données omiques par Factorisation Matricielle Non-négative pour étudier les altérations de la peau.